À propos du baiser de Paix... voir page 5
...et du gaspillage électrique.
Sous le regard bienveillant de Mgr JEAN
Eglise Catholique Orthodoxe de France Eglise-cathédrale saint-Irénée 96, Bd Auguste Blanqui 75013 Paris
Bientôt l’hiver !
Feuillet d’informations de la Paroisse de Paris
Année 1 - / périodique numéro
3 / septembre 2014
Le mot de …. Hubert Ordronneau, doyen de l’Institut St-Denys
Envols, service et handicaps
Le
calendrier général des activités de notre paroisse-
cathédrale est naturellement imprégné de liturgie, de réunions de travail et d’évènements en lien avec nos études et nos recherches. Puis soudain des mots ont pu accrocher notre regard, comme par exemple : élections européennes. Eh oui, l’Eglise ne néglige pas le côté « profane » de notre vie, qui conditionne tant d’autres aspects de nos existences en recherche d’équilibre. En participant aux obligations sociétales, philosophiques et politiques de notre époque, nous complétons le nécessaire équilibre instauré par les solides supports que sont travail ( sa recherche et l’intérêt qu’on y porte), santé ( son maintien ou l’amélioration du mode de vie), et famille (que contrairement à certaines interprétations, les Ecritures ne nous incitent pas à négliger, bien au contraire). Travail, santé, famille, participation à la vie communautaire d’un côté ; prières, études, charité de l’autre, et voici qu’une main invisible semble soudain vouloir nous « servir » de tremplin vers des élans célestes dont nous revenons, à chaque fois, ragaillardis, renforcés dans notre foi, émus, confiants et encore plus « disponibles ». Cette disponibilité, parfois, ne s’offre que partiellement en raison des accidents de la vie. Or, celui qui n’a que la prière pour seul outil peut autant aider le monde que le détenteur de l’ensemble des moyens. Tout est question de foi , de sincérité et de possibilité. Les envols sont intérieurs, ils facilitent le service. Beaucoup parmi les plus grands bloqués de l’existence, sans le savoir souvent, sont à l’origine d’actions significatives et participent ainsi à la vie de la paroisse comme à la vie du monde. La rédaction.
Week-end philosophique à l’Institut Saint-Denys.. L’Institut Saint-Denys, depuis trois ans désormais, propose tout au long de l’année académique cinq week-ends théologiques, qui ont pour but de compléter son enseignement universitaire. Instituées principalement pour les étudiants dûment inscrits, ces rencontres universitaires sont aussi ouvertes aux fidèles de nos paroisses, et à toute personne extérieure à notre Église qui en aurait la curiosité. Le dernier week-end des 17 et 18 mai 2014 était consacré à la philosophie, et il se révéla de haute tenue. Ceux qui ont pu y assister en sont sortis réjouis, et rafraîchis, spirituellement et intellectuellement. Le thème en avait été arrêté de longue date avec Philippe Ducat, professeur de philosophie à l’Université de Pau. Iegor Reznikoff, administrateur de notre Institut, et professeur émérite de l’Université Paris-Ouest Nanterre, avaient accepté de débattre avec lui sur une réflexion ainsi libellée, et un brin provocatrice : « Philosopher aujourd’hui : contre ou avec saint Paul ». Nous avons donc rencontré saint Paul ! Qu’est-ce à dire ? Accompagnés par nos deux professeurs, nous avons entrepris de comprendre avec eux les questions que des philosophes comme Nietzsche, à propos de la résurrection de la chair, continuaient de poser à Paul, en confrontant son enseignement aux progrès de la science. Puis ce fut le tour de Heidegger, le samedi après-midi, qui a consacré une étude approfondie en 1920-1921 à l’Épitre aux Thessaloniciens autour du thème majeur de « l’attente de la Parousie », sujet qui touche immédiatement notre foi. Enfin le dimanche après-midi Philippe Ducat « convoquait » Alain Badiou pour définir avec précision ce que celui-ci entend dans son ouvrage : « Saint Paul, La fondation de l’universalisme ». Ce que tout un chacun en a retenu est que saint Paul, loin d’être relégué dans les coulisses de l’intérêt philosophique contemporain, est au cœur de nombreuses polémiques, propres à réactiver son enseignement, à le réinterroger, à le rendre aussi plus lumineux pour nous chrétiens, pour peu que l’on s’en donne la peine. Autre leçon à tirer aussi en forme d’interrogation : le chrétien serait-il moins curieux que les philosophes « du monde » de la pensée du grand Paul, comme aimait à l’appeler saint Augustin ? Sous prétexte que certains textes sont trop marqués des mœurs de l’antiquité, que maints passages demandent, il est vrai, une lecture très attentive, allons-nous nous détourner de l’ œuvre remarquable de (Suite page 3)
Pèlerinage en Ethiopie Avril-mai 2014
Nous étions dix-neuf à nous retrouver pour ce pèlerinage aux sources du christianisme, curieux de voir enfin le pays de la Reine de Saba. L’histoire dit que la reine rapporta la Bible en Ethiopie de sa visite au roi Salomon et, de fait, tout notre voyage baignera dans une ambiance vétérotestamentaire. Le mot qui résume pour moi l’Ethiopie ? De la majesté des montagnes à la tenue de la population, tout pourrait se résumer à cela : dignité. Nous avons vu « un peuple en marche » aux sens premier et second du terme. Tous marchent et cela donne à la population une stature, une allure, un maintien qui ont une certaine noblesse. Cette marche incessante permet une fluidité, une souplesse, un calme et un rythme que nous pourrions leur envier… Dix-neuf (un évêque, trois prêtres et deux diacres, plus quelques autres) à nous regrouper autour d’un jeune guide local et parfaitement francophone qui nous expliquait le comment et le pourquoi de ce que nous voyions… et il avait fort à faire ! Car, dans un pays si inconnu de nous, si éloigné géographiquement, historiquement et culturellement, tout pratiquement, était à reprendre « depuis le début ». Nous sommes arrivés dans une capitale contrastée comme celles des pays en voie de développement : le Moyen Age jouxte la modernité à chaque coin de rue (par exemple un
En deux mots, l’histoire chrétienne de l’Ethiopie commence avec l’arrivée des neuf « saint syriens » Aragwi, Pantalewo, Guba, Mata, Liqanos, Sehma, Garima, Afsé et un autre à la fin du cinquième siècle, originaires de Constantinople, Antioche et Césarée et considérés comme les pères fondateurs de l’Eglise éthiopienne. Ils fondèrent des communautés monastiques à l’emplacement des temples païens, sortes de constellations de cellules où les moines vivent isolément. Ils traduisirent du grec en guèze le Nouveau Testament, la vie de Paul l’Ermite, la vie d’Antoine et les « règles de la vie monastique » de Saint Pacôme. Encore aujourd’hui plus de la moitié de la population de l’Ethiopie est chrétienne orthodoxe et nous avons vu des bandes d’enfants joyeux, déguenillés portant tous une croix bien voyante ! (dans le cou pour les garçons et sur la poitrine pour les filles). Les adultes aussi portent fièrement ce signe religieux, sans arrogance pourtant. Nous avons aussi été invités à la fête de fin d’années de jeu-
bénédiction avec la croix de saint Pantéléion (5e siècle)
le Le Patriarche d'Ethiopie Mathias (au centre) homme conduisait une charrette tirée par un âne, le télépho ne portable à l’oreille, ou bien de jeunes banquiers cravatés portant de récentes scarifications). Une ville bruyante, certes, mais pas infernale : on y sent un rythme encore humain. Le soir même nous nous sommes envolés bien au nord d’Addis-Abeba. Nous y avons trouvé un climat plus humide bien qu’à 2 200 mètres d’altitude, à la végétation luxuriante. Cette fois-ci comme les autres, nous avons été accueillis par des personnes calmes, souriantes et gentilles dont on sent qu’elles commencent à vivre du tourisme mais n’en sont pas encore abîmées. Le lendemain a été une journée très originale puisque nous avons traversé un lac de 85 sur 65 km sur un des rares rafiots du coin. Quelques pêcheurs sur leur pirogue en bambou, surveillés de près par des pélicans à l’affût ont été nos seuls compagnons sur ces eaux calmes. Nous avons fait une halte sur une île où nous avons visité une église tenue par deux prêtres (ceux qui portent une sorte de toge un turban blanc) dont les noms étaient « Force de Marie » et « Descente de Lumière » ! Tout est réduit à sa plus simple expression car tout est pauvre. Mais pas misérable. Et nous sommes toujours entourés d’une multitude de personnes –surtout des enfantsdont on se demande d’où elles arrivent…
nes élèves d’une école de théologie, dans une sorte de faubourg d’une ville. Quel dépaysement ! A flanc de coteau, sur le sol, des dizaines de garçonnets étaient accroupis, devant, à côté, autour de toutes petites cabanes rondes (qui pourraient évoquer les tentes des sixaines des louveteaux) qui sont leur logement. Et tous ont suivi les danses au son de deux tambours liturgiques de quelques-uns de leurs aînés qui psalmodiaient les psaumes de David… sous la surveillance du prêtre -aveugle responsable de leur école et de quelques autres. Quelle tenue, quel calme, quel respect ! Leurs études durent une quinzaine d’années et les enfants mendient leur nourriture, au risque de se faire mordre par les chiens de prop r iét a ir es peu charitables, bouscu ler par d’autres agacés par leur présence ou tout simplement de rentrer bredouilles, le ventre vide. L’ét o nne m e nt pouvait se lire dans leurs yeux de nous savoir orthodoxes comme eux et plus grand encore futil lorsque nous nous mîmes à chanter ! Les paysages –tous à plus de deux mille mètres d’altitude- que nous avons traversés sont d’une majestueuse beauté, à couper le souffle. On y a un sentiment de vastitude et de (suite page 3)
Page 2
Ethiopie suite et fin)
...Suite de la première page,week-end philosophique
plénitude à la fois, de présence et d’intemporel, d’indicible beauté. La végétation est somptueuse aussi : bougainvilliers, flamboyants, arbres à myrrhe, lauriers roses, eucalyptus, fromagers, acacias parasols, cactus chandeliers… Toute terre cultivable est cultivée, chaque famille a son lopin de terre. Pas de mécanisation mais l’aide de zébus pour le labour et une nombreuse main d’œuvre car, très tôt, les enfants aident les parents aux travaux des champs et de la maison ou de la garde des petits frères et sœurs, même s’ils sont tous scolarisés. Je laisse la plume à d’autres pèlerins qui croqueront une autre image de l’Ethiopie que nous avons découverte ensemble…
celui qui se nommait lui-même le treizième disciple ? Décidons de nous tourner à nouveau vers saint Paul, engageons-nous à relire régulièrement ses épitres, et à en méditer les versets qui nous inspirent ; tâchons d’en faire un ami, un allié dans le pèlerinage de cette vie. On ne peut faire fausse route avec celui qui a entendu et reconnu la voix de son Seigneur sur le chemin de Damas. Nous redisons notre gratitude aux deux philosophes, Philippe Ducat et Iegor Reznikoff, qui ont accepté de tenir les rênes de cette réflexion, pour réaffirmer la beauté et la grandeur de cette œuvre épistolaire, dédiée pour l’essentiel aux diverses communautés qu’il avait fondées et qu’il aimait en Christ. Hubert Ordronneau Doyen de l’Institut Saint-Denys de Paris.
H.O.
Bibliographie indicative, proposée par Ph.Ducat : Didier Franck, Nietzsche et l’ombre de Dieu, Paris, PUF, 1998 Alain Badiou, Saint Paul. La Fondation de l’universalisme, Paris, PUF, 1997 Giorgio Agamben, Le Temps qui reste. Un commentaire de l’Epître aux Romains, Paris, Rivages, 2000 Heidegger, Phénoménologie de la vie religieuse, Paris, Gallimard, 2012.
La paroisse de Juvisy Ce dimanche 29 juin 2014, la paroisse de Paris s'est rendue Fidèles, lumières et liturgie… Quand faut-il se munir d’un cierge? Certains fidèles sont pris au dépourvu lorsque, installés sur leurs sièges, ils s’aperçoivent tardivement qu’ils auraient dû se munir d’un cierge. Ils doivent alors se déplacer, parfois en cours de rituel. C’est que vraisemblablement, ils sont passés devant l’affiche qui le leur indiquait – et qui dorénavant sera apposée dans le couloir d’entrée-. Nous devons rappeler toutefois que l’indication figure, symbolisée par une bougie, dans le livret « Calendrier liturgique » que nous nous procurons chaque année.
Incident matériel réglé... La porte d'entrée sur rue de l'église s'est trouvée bloquée complètement un jour de fin mai. Il a fallu passer par les voisins pour entrer. Après de multiples péripéties avec le serrurier, la situation a été enfin réglée...à la grande joie de notre trésorier qui devra « s’acquitter » de la somme rondelette de 884 Euros. Une chance : il n’a pas été besoin de changer de clé (relativement sophistiquée). Info de Vincent Tanazacq
à Juvisy-sur-Orge pour son pique-nique festif qui prend au fil des années une tournure ordinaire. L’an passé, faute d'une organisation cohérente, le lieu avait été un peu désert. Cette fois, sous l'impulsion du nouveau recteur, 25 personnes ont fait le déplacement. L'archidiacre avait invité une semaine auparavant les fidèles à se tourner vers saint Aubode, connu pour éviter la pluie en toute circonstance. Mais la mollesse de nos demandes et de notre foi nous ont valu une réception "a minima" de la part de notre saint. "Vous priez sans trop y croire ? Bon, je vais faire plaisir à ceux qui sont vraiment croyants, mais pour les autres je vais leur en donner pour leurs doutes. Saint Aubode nous a d'abord gratifiés de rayons de soleil sur le chemin, puis arrivés sur place avec un peu de pluie, et après que, piteusement, les parisiens se soient mis à l'abri à l'intérieur, les retardataires ont du s'installer à l'extérieur, où un ciel serein leur a permis de festoyer normalement. Mgr Germain avait dans sa besace une homélie de Mgr Jean prononcée le 27 juin 1954, soit dix ans après la première célébration de la Liturgie selon l'Ancien rite des Gaules restaurée. Comment qualifier, sans emphase, la pensée de cet homme prophétique ? Le premier mot qui vient à l'esprit est celui de puissance. Nous qui sommes si souvent dérisoires en présence de la parole divine, nous nous trouvons parfois en présence d'un homme dont l'intimité avec Dieu nous dépasse. Effarement. Lui a tout compris, et moi rien ! Mais au lieu d'être frustrés, nous nous sentons emportés dans le sillage de cet homme merveilleux qui a fait le travail pour nous et nous apporte sur un plateau d’argent, un enseignement qu’il a su rendre si simple… Page 3
LE BAISER DE PAIX
Arrêt sur image à Saint-Irénée
par Vincent Tanazacq
Historique Sans faire de recherches historiques complexes et savantes, nous trouvons des traces écrites du baiser (signe d'amour) depuis que le monde existe. Le baiser de paix en est une variante à haute valeur symbolique puisqu'il unit le baiser et la paix. Notre baiser de paix consiste en une accolade simple, et non une embrassade charnelle, accompagné de la formule "Paix à toi et à l'Eglise" à laquelle celui qui reçoit le baiser répond par "Et avec ton esprit". Une exception avec la nuit pascale et la semaine pascale, où l'on se donne une triple accolade avec la formule "Christ est ressuscité", à laquelle on répond par "En vérité Il est ressuscité".
Place dans la liturgie Il se trouve aussitôt après les diptyques, immédiatement avant le Canon eucharistique. Pendant qu'il s'effectue, on chante les paroles du Christ : "Je vous laisse la paix, Je vous donne ma paix, non comme le monde la donne, Je vous la donne, Moi.". Plusieurs versets sont prévus, mais le chant s'interrompt lorsque tous l'ont reçu.
Comment doit-il se transmettre ? Il part de l'autel, lieu où siège le Christ, et il est transmis par le célébrant au clergé majeur qui le transmet aux clercs mineurs. Ensuite les clercs mineurs le transmettent à la première personne se trouvant au premier rang de chaque travée de la nef. Puis chacun le transmet à son voisin, et ainsi de suite jusqu'au fond de l'église. Lorsqu'il y a beaucoup de fidèles, afin que ce rituel ne dure pas trop, les clercs mineurs le donnent aussi à la 5e ou 6e rangée. Mais comme nous n'avons plus depuis longtemps de protoacolyte cela se passe plutôt de manière anarchique. Le pire, avec mauvais exemple donné par quelques clercs majeurs, consistant à le transmettre à chaque première personne de chaque rangée. Joyeux désordre où le sens est déformé. Nous remarquons aussi que parfois, certains pour des raisons préférentielles, délaissent le voisin le plus proche pour donner le baiser à un fidèle plus éloigné (ou changent de place pour « tromper l’ennemi », ce dont personne n’est dupe). Cette attitude est contraire à la nature profonde et salutaire de ce rituel. Ce comportement est inacceptable. Avant la communion, la paix et le pardon ne se négocient pas. Ou alors on reste à la maison...
Remarques : 1) L'Eglise de Rome, lors des travaux liturgiques de Vatican II, avait prévue de restaurer le baiser de paix. Mais comme la chair y est toujours suspecte de péché (amour charnel, sexe, célibat forcé, confusions sur le sens de la virginité), l'on a délaissé évincé le baiser pour le transformer en une poignée de main, ce qui est le comble du ridicule. De ce fait on a évincé le mot "baiser" pour le transformer en "signe de paix". 2) Le baiser de paix n'est pas une gestuelle sentimentale.
On dirait trois scènes pour un tableau avec, au premier plan, ces visages d’enfants, d’un naturel émouvant. Merci au photographe pour cet instantané
Note destinée à tous ceux qui assument une charge au sein de la paroisse (Clercs majeurs, clercs mineurs, professeurs, servantes, choristes...) Nous nous trouvons à Saint-Irénée en présence d'un double danger : nous sommes une association, religieuse de surcroît. Autrement dit l'endroit idéal pour l'irresponsabilité. Les sources de gaspillage électrique sont les suivantes : 01) Escalier qui mène à la Bibliothèque Pierre Kovalevsky (Institut), 02) Diakonikon, 03) Couronne du grand lustre, 04) Prothèse, 05) Crypte (en bas, pas l'escalier qui y descend), 06) Couloir du 1er étage et vestibule des W-C, 07) Eclairage de la fresque de la Vierge, 08) Cagibi proche du baptistère, 09) Cuisinette au fond de la salle dite de l'Institut (R d C sous la bibliothèque de l'Institut), 10) Le chauffage radiant installé sur les murs de la cathédrale, 11) Les deux radiateurs de la salle de l'Institut Un calcul sommaire, puisque ce fut le cas dimanche 4 mai dernier, où la couronne inférieure du grand lustre est restée allumée après le départ des derniers. Elle comporte 12 ampoules de 100 Watts, soit au total 1200 W pour une heure d'allumage. Au prix TTC de 0,123 € le Kw/heure, le coût est donc de 1,476 € pour une heure. Il sera judicieux de faire le même calcul avec les radiateurs muraux que l'on allume ces dernières années même lorsque la température est acceptable.
Aberrations, Anomalies : Des personnes qui au lieu de donner un baiser normal, tendent leur tempe en baissant la tête. .. Un de nos prêtres avait inventé de baiser l'autel avant de donner le baiser de paix aux autres clercs. Fantaisie personnelle inutile… Page 5
Brèves - rappels- dates à retenir - divers - expressions - sourires Nos deux assemblées générales annuelles :
8 septembre 2014 Fête de la Nativité de Marie
Dimanche 26 octobre 2014 ; ASSEMBLEE GENERALE DE LA PAROISSE
14 septembre 2014 Fête de l’Exaltation de la Sainte Croix
Samedi 21 et dimanche 22 novembre 2014 : ASSEMBLEE GENERALE DE L’E.C.O.F.
29 septembre 2014 Fête de Saint-Michel Archange 11 et 26 octobre 2014 Examens de théologie pour les étudiants concernés
Inspiration nocturne...
7 ,8 et 9 novembre 2014 Week-end Institut salle de la bibliothèque Maxime Kovalevski animé par Christian et Renée Bange . 13 décembre 2014 70e anniversaire de l’institut: journée Kovalevsky Et déjà, pour 2015 du 23 au 25 janvier : week-end à l’institut, animé par le Père Jean-Louis Guillaud, le doyen Hubert Ordronneau et le recteur Vincent Tanazacq.
“Jamais, jamais, jamais, ne laissez jamais quiconque vous dire qu’afin d’être Orthodoxe, vous devez aussi être Oriental. L’Occident a eu la pleine Orthodoxie mille ans durant, et sa vénérable Liturgie est bien plus ancienne que n’importe laquelle de ses hérésies.” Saint Jean Maximovitch
Malgré la houle du temps de guerre Gravissant l’escalier des saints Refusant compromis et soumission JEAN aura oeuvré pour l’Eglise renaissante Et, les épaules lourdes mais le cœur enflammé Adossé au mur friable qui le séparait du vertige Notre évêque a tenu, et pleuré, et souri Kénose divine ramenée à l’humain Ombres salutaires d’où jaillit la Lumière Verbe incarné, souffrance de Dieu Amour absolu, sourire des anges… Luttes Inégales et espoirs déçus Exaltation soudaine, récompense infinie Voilà que l’Eglise se construit de nouveau Salut à toi, père béni Kermesse de Joie Y être céleste * *Note : “Y” désigne effectivement un objet céleste dans la famille des astéroïdes …
Zeste d’humour... Information permanente : CONSEIL PAROISSIAL. Liste des membres : Sous les présidences alternées de Mgr Germain et du père Jean-Louis, le Conseil est composé de Vincent Tanazacq, archidiacre et recteur de la paroisse, Isabelle Fossey, Françoise Jodin, , diacre Léon Navick , Marina Pesic - présidente laïque, Georges Perucki, secrétaire.
K i r i
h é r i s s o n
e t
Baiser de Paix
A propos de ce feuillet d’informations. L’écho reçu depuis sa création est suffisamment favorable pour que nous nous efforcions de l’améliorer, dans son fond, sa forme mais aussi la fréquence de ses parutions. Sur ce dernier point, nous avons constaté qu’un rythme périodique, c’est-à-dire selon l’actualité et les besoins, est de loin préférable à une publication régulière imposée. Nous ne cherchons pas à « faire du remplissage » mais à vous être utile et vous intéresser. Le numéro qui suivra celui de rentrée que vous avez sous les yeux, paraîtra donc en fonction de ce critère. Merci, GP Responsable de la publication (gratuite et à ne pas déposer sur la voie publique) : Mgr Germain . Comité de Rédaction : Georges Perucki *,Vincent Tanazacq, Hubert Ordronneau, * 06 84 97 18 77 /
[email protected],
Attention : un encart est inséré dans ce feuillet (p.5 et 6)
Page 4
Eglise Saint-Irénée, au centre Mgr Jean
Bd Auguste Blanqui, vers les années 1950, qui reconnaissez-vous?
Eglise St-Roch, Le chœur de la paroisse St-Irénée Page 6