3rd ORGANIC PROCESSING CONFERENCE FUTURE CHALLENGES: Sustainability, Quality, Integrity & New Regulation
Yvonne Henkel – AöL – Rapporteur for Sustainability 17 – 18 November, Paris
Workshop on Sustainability New environmental management requirements – impact and opportunity Modérateur: Charles Pernin – Directeur, Synabio La position d´IFOAM EU concernant la proposition de la Commission d´introduire une système de management environnementale obligatoire: “IFOAM EU proposes to introduce into the Organic Regulation the requirement that an organic operation processing and trading (not retailers) food and feed has to fulfil basic environmental requirements in order to demonstrated their primary Environmental Performance. This should include: - methods for identifying and measuring the direct environmental aspects of the operation based on core indicators, - annual target for the continuous improvement of the environmental performance of the operation, - a documentation and reporting system. The verification of the fulfilment of this requirements must be part of the organic control and certification system. To establish complex concepts like EMAS or ISO 14001 with an additional certification system is organic regulation is a much too far reaching approach with a tremendous additional burden (work and costs) for operators involved. To propose such systems has a high potential to exclude many operators (processing and trade).”
Workshop on Sustainability New environmental management requirements – impact and opportunity Modérateur: Charles Pernin – Directeur, Synabio La position d´IFOAM EU concernant la proposition de la Commission d´introduire une système de management environnementale obligatoire:
- talk about performances and not about management systems - look at a company´s individual way of development - do not compare products (CO2 footprint etc.) but look at the process
→ individual development of operations
Workshop on Sustainability New environmental management requirements – impact and opportunity Modérateur: Charles Pernin – Directeur, Synabio Contributions 1. Manuel Rossi Prieto, Policy officer- Secteur International – DG AGRI Raisons pour introduire un système de management environnemental: - consultation - acteurs (stakeholder) comme p.e. IFOAM - étude qui a montré que les entreprises ont plus d´avantages que de coût (exception: micro-entreprises) - valeur ajoutée des produits La Commission est ouverte par rapport au choix d´un système – tout en sachant que EMAS serait le système idéal. COM would like to see a certification, not just the internal implementation
Workshop on Sustainability New environmental management requirements – impact and opportunity Moderator: Charles Pernin – Director, Synabio
Contributions 2. Karine Martins, Sébastien Conan, Ecocert
- Comparaison ISO 14001 et EMAS: ISO 14001: standard international + privé + engagement à la conformité à la règlementation locale obligatoire, communication externe n´est pas obligatoire EMAS: communication externe obligatoire (sur l´impact environnemental + des critères en plus + c´est le ministère qui certifie l´entreprise EMAS easy: un outil d´accompagnement, ce n´est pas une version “light” d´EMAS Both: amélioration permanente adaptée aux besoins des entreprises individuelles – objectifs à atteindre chaque année → priorisation des actions à mener – être cohérent dans les choix.
Workshop on Sustainability New environmental management requirements – impact and opportunity Moderator: Charles Pernin – Director, Synabio
Contributions 3. Lucas Le Provost – Coordinateur RSE, Triballat - Présentation de leur engagement en ce qui concerne les compartiments environnementaux différents - Réflexion sur la question d’installer un système de management environnemental et sur les barrières et les facteurs clés du succès - Pas de certification pour le moment
Observations - Il y a peu d´entreprises qui ont mis en place un système, il y a peu de formalisation, mais quand même des activités dans les entreprises - Les entreprises ont peur de se lancer dans une système tout prêt - En France il n’y a que 30 entreprises qui sont certifiées EMAS (et très peu sont du secteur alimentaire) - Il nous faut des démarches adaptées à la structure de chaque entreprise sans oublier qu´il faut en même temps un minimum de structure - Il serait plus efficace de commencer par laisser les entreprises évaluer leur propres impacts avant de les obliger à se certifier - Un système strict n´est pas dans l´esprit du mouvement bio
Conclusion 1.) Tout le monde est d´accord qu´il faut s´engager et aller plus loin en trouvant des solutions plus adaptées que les systèmes comme EMAS et ISO 2.) En général il faut faire reconnaître les outils qui viennent des entreprises plutôt que d’imposer des systèmes qui existent déjà Il y a des outils dans les entreprises mais difficile de les formaliser 3.) Il y a des bonnes pistes comme p.e. „Bioentreprise durable“ conçu par le Synabio.
Workshop on Sustainability Best environmental performance practices focusing on food waste management Modératrice: Louise Browaeys - Coordinatrice Environnementale, Synabio Contributions
1. Didier Pérreol - CEO, EKIBIO - Présentation des activitées environnementales et sociales: moins d´énergie, d´eau, d´emballage, composition des emballages, recyclage, dons aux salariés et aux associations - Interventions et formations sur la cuisine durable et sensibilisation à une alimentation responsable - ISO 14001 « ça n´a pas de prix, c´est une priorité d´avoir une harmonie dans l´entreprise et des salariés satisfaits »
Workshop on Sustainability Best environmental performance practices focusing on food waste management Modératrice: Louise Browaeys - Coordinatrice Environnementale, Synabio
Contributions 2. Louise Browaeys - Environmental Coordinator, Synabio Présentation du standard privé du Synabio “bioentreprise durable”: - Travail avec des entreprises du réseau et avec Ecocert - Depuis 2009 - Audit externe - Environ 30 critères et 6 piliers (gouvernance, responsabilité sociale et environnementale, loyauté des pratiques, questions relatives aux consommateurs, réponse aux attends de la société civile) - Environnement: l´utilisation durable des ressources, réduire l´impact de ses activités sur l´environnement, l´atténuation du changement climatique, préservation de la biodiversité
Bonnes pratiques dans les entreprises
- Récupération de l´eau de cuisson (autoclave) dans la production pour l´utilisation dans le nettoyage (autoclaves – consomment beaucoup d´eau) - Approvisionnements locaux (emballage..) - Contrôle de la consommation d´énergie - Réduction de la consommation de papier + sac de papiers FSC - Dons aux banques alimentaires - Formation du personnel et des enfants - Pratique du stockage intermédiaire (cartons..) - Recyclage de tous les déchets (produits intermédiaires – alimentation animal, compost, dons) - Limitation des suremballages - Biodiversité sur le site de production: ruches, mouton - Transports des employées (covoiturages, vélo) - Compensation de CO2 dans la propre chaine de valeur – pas d´actions quelque part dans le monde
Organisers:
In cooperation with AöL, BioForum, Bionext, Organic Food Finland and Soil Association